31 juil. 2010
25 juil. 2010
Les contreforts
21 juil. 2010
Le Vernis à Ongles
18 juil. 2010
Les lignes de démarcation
16 juil. 2010
Le jardinier des souvenirs
Voilà 16 ans, un tournage au Mexique, dans une maison de maître en état de délabrement. La propriétaire fantasque avait depuis longtemps mis en vente son bien d'exception. Mais l'affaire ne se faisait pas. Sans doute une période de crise, comme il en arrive parfois.
Alors la propriétaire accepta la venue d'une équipe de film en échange d'une modeste location, histoire de mettre un peu de beurre dans les épinards... Désoeuvré, le jardinier qui régnait normalement en maître sur ce bien d'exception, dut apprendre à supporter les étranges envahisseurs.
Cette photo montre le jardinier dépressif dans l'impossibilité d'envisager une noyade.
Depuis longtemps, la piscine était percée...
12 juil. 2010
Les Klaxons espagnols
A l'heure du coup d'envoi, un commentateur maladroit rappelait que la Hollande connait généralement le complexe de la défaite en phase finale.... Trois ou quatre heures plus tard... l'ennui du match étant oublié, on subit les fanfaronnades espagnoles... Klaxons ouverts, klaxons déchaînés... Puisse votre joie se répandre jusqu'à nos pieds, puisque de toute évidence, nos oreilles sont déjà conquises...
10 juil. 2010
L'inévitable orage
Il est agréable de se baigner tandis que les éclairs cinglent les alentours de leurs promesses de fraîcheur retrouvée. La ville n'est pas faite pour les grosses chaleurs. Quand celles-ci surviennent, les rues semblent dans l'attente d'un orage, d'une bonne douche tropicale. La dernière ondée remonte au 3 juillet, 19h15. Depuis la température n'a fait que monter.
A l'heure de la lake parade, ils sont tous là, échauffés par la bière et par l'opportunité vulgaire de pouvoir se travestir. Heureux soient-ils derrière leurs camions et qu'une violente averse vienne impitoyablement laver le pavé.
6 juil. 2010
La Torpeur Nocturne
Dans mes rêves, la même serinante musique du passé, une pièce déjà jouée.
Dans mes rêves, ton visage toujours paraît, ritournelle sans paillette.
Dans mes rêves, la raison l'emporte, s'effacent les bruits des sabots.
Et le soleil toujours se lève. Toujours je me réveille.
Le cercle de craie caucasien, belle énergie dans ce spectacle qui se perpétue de génération en génération.
3 juil. 2010
Poésie de Juillet
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