26 avr. 2012

Tu me fais rougir

Il y a là un curieux paradoxe. Un festival, plutôt centré sur le documentaire, s'associe à des saltimbanques pour animer son univers. Tout à coup, s'invite dans le quotidien une once de poésie. Un dérapage incontrôlé ? ou alors la représentation exacte de ce que le bon documentaire devrait nous apporter... Un regard de saltimbanques sur l'histoire, la géographie, la chimie... un regard décalé et assumé. Visions du Réel, certes, mais Visions avant tout. Vive les décalages...

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