Ne me demandez pas ce que viennent faire les brésiliens là dedans, encore moins le 8 mai... mai comme le Consul tardait à retirer ses couronnes, je me suis dit... que... nous célébrions encore les fastes d'une gloire passée...
Ou quand les douloureuses défaites sont commémorées comme des victoires...
Il va falloir en manger à tous les repas, quitte à frôler l'indigestion. Il va falloir ne manquer sous aucun prétexte, mâtines, messes et vêpres, pronostiques, matchs et analyses. Il va falloir se confesser quand on manquera un penalty ou une touche, ni luxure, ni vanité. Il va falloir que tout le monde respecte les règles.
D'ailleurs de nouveaux panneaux sont apparus en ville pour guider les pèlerins... Ainsi des données inédites sont enfin accessibles aux Genevois. On découvre sur l'un de ces panneaux, qu'à pied, il faut 60 mn pour aller de Carouge à la Gare... Je me demande qui a imaginé ces itinéraires, ou plutôt le meilleur chemin permettant au flot de supporters de quitter la ville, sans causer trop de tort aux riverains... et surtout sans démolir les trams et les bus... 60 minutes... à pied !
De nouveaux panneaux sont apparus en ville, je vous jure... Miss Rozenn a d'ailleurs trouvé le plus surprenant.
Cramponnez-vous... Pour commencer, ne pensez plus à traverser la Plaine, toute acquise à la cause du ballon rond, un véritable camps d'incarcération provisoire s'y prépare pour supporters en mal d'émotion. A moins qu'ils ne s'imaginent entasser là en plein soleil ceux qui à ce sport n'offrent pas leur dévotion...
Il est né le divine enfant... mais c'est pas dit que tout cela ne soit pas dans la douleur.
Cette nativité vous est gracieusement offerte par Elise GdB.
Le pélerinage va pouvoir commencer, les symboles forts sont bien en vue au dessus de la rade. On a dépoussiéré les temples et les marchands nous vendent à prix d'or les ex voto contemporains. Les médailles des Saints modernes s'échangent déjà avec frénésie, les croyants avides collent avec plus ou moins de soin sur le papier glacé de leur album collector les icônes de ces martyres venus de toute l'europe. S'efforcer de récolter une vraie relique, parmi tous ces faux semblant...
"Glorification de l'Eucharistie" par Bonaventura Salimbeni à voir à Montalcino original à voir ici http://www.save-san-pietro-montalcino.com/Salimbeni.JPG
Toute suggestion bienvenue pour poursuivre cette série...
Interlaken, déjà 900 kilomètres dans les pattes. Arrive l'hôtel où bien entendu seules 4 chambres ont été réservées alors que nous sommes cinq. Je ne me vois pas rentrer le soir même en train à Genève. Je ne me vois pas non plus dormir avec l'un de mes comparses... ni avec le réalisateur, ni avec l'assistant, ni avec la directrice de production, ni même avec mon pote Martin...
Travailler trop pour gagner plus c'est possible, travailler trop et passer pour un con, non... Donc on finit par me filer une chambre à moi aussi. Une chambre où la salle de bain est plus grande que la chambre. Et si on reconnaît la surface de la lune aux cratères qui la vérolent, on reconnaît cette salle de bain au carrelage jaunasse qui l'habille. Un carrelage qui malgré lui me rappelle l'hôpital où maman a séjourné quelques semaines. C'était la même esthétique, le même carreau de je ne sais quelle matière, de je ne sais quelle dimension, un carreau d'un jaune improbable, jaune qui se lavesans doute uniquement à la javel...
J'ai l'impression d'être dans un sana. J'ai l'impression d'être malade. Mais bon... Anomalie soudaine, je trouve dans la baignoire un cheveu. Un cheveu long, un cheveu de femme. A plus de 100 euros la chambre, tarif officiel, je me dis que c'est une sacré trouvaille. Le cheveu peut appartenir à une femme de caractère et de qualité, ou alors simplement à la femme de chambre qui l'aura perdu par inadvertance. Ce cheveu recroquevillé sur l'émail de la baignoire me rappelle cette explication hautement improbable qui justifiait le port d'un bonnet de bain pour les filles. Je me souviens que les filles devaient porter un bonnet de bain, car leurs cheveux longs flottant au fil de l'eau chlorée de la piscine, se révélaient de tranchantes armes pour les plongeurs des 3 mètres... J'ai toujours essayé d'imaginer un plongeur coupé en deux car il avait touché à la surface de l'eau un cheveu long, blond, si tendre quand on le regarde, si cruel quand il flotte dans l'eau.
La vie est ainsi faîte, elle ne tient qu'à un fil.
Nos professions suscitent un vif intérêt et souvent un éclair de jalousie, ce, sous prétexte que nous côtoyons des personnes dont le nom, et parfois le talent, sont reconnus. Mais si travailler pour quelqu'un dont on estime la compétence est en soi plutôt positif, il n'en demeure pas moins que l'échange quotidien demeure au niveau du faire -le travail direct - et n'accède que rarement au niveau du sens. Tout comme l'ouvrier plombier ne demande pas à son patron pourquoi il a embrassé la carrière de plombier, l'ouvrier cinéaste ne veut savoir du réalisateur que l'endroit où il veut poser sa caméra, mais n'évoque quasiment jamais le pourquoi il veut la poser là. Tout demeure bien plus trivial. La seule chose dont on se souviendra après coup, ce sont quelques anecdotes et cette vague impression d'avoir été là, malgré tout. C'est donc essentiellement dans ce que nous serons à même de raconter de cette journée de travail que se situe l'intérêt de cette entreprise, sommes toute fort banale.
Mais la saveur singulière de cette journée là tient au fait qu'il faisait beau et que tout le monde fut de très agréable composition.
Quand on dit "L'émoi ne passera pas", ça ne veut pas dire que les mois ne passent pas, mais que l'émotion reste là nichée tout au fond de soi. Surtout quand les messages arrivent, surtout quand quelques mots ravivent, un peu de ce doux rêve là, auquel ma foi on n'a plus droit.
En l'occurrence les mois passent, et la fumée, elle, ne me manque pas.
Chambre d'hôtel très chic à Strasbourg après avoir commis un acte de grivèlerie par omission. Faute avouée à demie pardonnée, après avoir dûment relevé mes coordonnées, les caissières de la station service de l'autoroute m'ont laissé reprendre la voiture sans appeler les gendarmes. Il faut dire qu'elles étaient très préoccupées, les lumières de la piste ne s'allumaient pas. Une station service dans le noir, c'est bien plus angoissant qu'un client sans argent.
Retour à la case maison, les souris ont profité de mon absence pour laisser un petit tas de poussière derrière la porte de la cuisine et tant d'autres images que je ne suis pas encore sûr d'avoir pu décoder l'ensemble de ce puzzle. Cet espace fut donc en mon absence, le jouet de minipouces, de lutins, de fées malicieuses. J'avoue avoir été complice et la photo de la photo est une preuve ou un indice supplémentaire. Après le jeu de piste en images, il y a eu l'image de Sarkozy à tous les étages, je me suis endormi... signe que de toute évidence, il atteint quand même son objectif. Penser et réfléchir dans quelques temps à l'utilisation d'une grue dans les salons de l'Elysée. Finalement en terme de mise en scène, celui qui voulait se montrer sincère adopte les artifices les plus grossiers du divertissement. Loin d'être rassurant ou solennel, il était fidèle à lui-même rouge et or, et petit dans le cadre derrière cette grande table improbable. Retour à la case maison, avec le souvenir et encore en moi la belle énergie de rencontres savoureuses sur fond rouge. Rencontres durant lesquelles se confirme l'adage disant que parfois on aime les auteurs plus que les films et vice versa. Parfois c'est aussi dans le public que ça se passe, ou alors durant les nuits qui se finissent au petit jour. Je ne regrette pas d'avoir donner de l'énergie pour ce festival adolescent.
notez que "j'ai la larme à l'oeil" peut juste signifier "je garde un oeil sur le réveil"... par contre dans je pue des pieds il y a rarement un double sens...
Ouais... la pluie ça mouille, c'est la fête à la grenouille et je commence à grenouiller sérieux. :-)
Autrement appelé le syndrome du bouton sur le nez et dont on pourrait ici tenter de donner la définition.
Achetez par hasard un canard en porcelaine, parce que vous le trouvez joli qu'il a du caractère et qu'il représente à vos yeux le souvenir d'un moment singulier. Exposez-le chez vous pour garder en mémoire toutes les émotions qu'il incarne. Ayant constaté l'importance accordée à cet objet, vos amis penseront satisfaire vos penchants, en vous offrant à leur tour des canards, enclenchant à l'insu de votre plein gré le processus dévorant de la collection.
Donc, quitte à passer pour un fétichiste, je sens que la série des bottes n'est pas prête de se tarir. Quel rapport avec le syndrome du bouton sur le nez ? C'est bien simple, quand on en a un, on remarque immédiatement tous les gens qui en ont aussi, chose qui d'habitude nous laisse indifférent.
Si j'étais un bec à miel, j'aurais sans doute déjà dévalisé la boutique. Mais je suis un bec à sel... Aussi, je ne connaissais pas les macarons Ladurée... Au fond, je les ai trouvé bons, merci. Mais ce qui m'a le plus amusé, c'est le retour de la botte version Jacques Demy. (voir plus bas) Nous sommes à nouveau dans le bon décors. Ceux qui connaissent les rubans et les emballages de ces macarons seront immédiatement convaincus. Les autres n'ont qu'à imaginer un épanchement pastel sur fond de boiserie et une mascarade de pâtisseries aux couleurs non moins discrètes... et voici que surgit la botte cloutée, accompagnée cette fois de la robe brodée et des chiens chiens, deux petits machins, sans doute habitués aux tapis rouges et aux pages de Galas, car ils tenaient absolument à venir me lécher l'objectif. Si les vendeuses m'ont trouvé un peu étrange, Madame bottes cloutées a feint de m'ignorer tandis qu'elle ajoutait trois macarons à la framboise à son assortiment.
Ps : personne n'a pensé à lancer un mouvement pour interdire les chouchous jaunes pour Yorkshire ?
Le triptyque du Rhin sous la pluie. A l'origine il s'agit d'une seule image, mais ainsi découpée elle raconte déjà tant de choses. Elle raconte le pare brise couvert de gouttes de pluie. Elle raconte le groupe de cygnes qui jacassent dans leur coin. Elle raconte le cygne solitaire, le caliméro, qui aurait bien envie mais qui n'ose pas. Elle raconte le danger qui rode à tout instant pour l'automobiliste qui se risquerait sur cette rampe pavée.
Mais à elle seule, la signalétique des ponts et chaussées est surprenante. Un panneau triangulaire similaire avec un cerf galopant dessiné en son coeur, signifie attention des cerfs peuvent passer par là. Un panneau triangulaire similaire avec des bout de caillou tombant du ciel, signifie attention la montagne va vous tomber sur la gueule... Donc ce panneau doit signifier quelque chose comme attention des voitures peuvent plonger dans le Rhin à tout moment... Lieu de baignade pour véhicule à moteur...
Deux trois images qui viennent en écho de ces kilomètres parcourus... Des images et des mots.
Observé dans un restaurant le dimanche de Pâques, un couple assez triste qui ne parle pas et comme en cette journée spéciale le chef cuisinier a pris des vacances, son second révèle ses lacunes et le service prend du retard. Les serveuses ne savent plus comment calmer la colère de monsieur qu'on sent fulminant. Il n'est pas vieux et con, il doit juste avoir trente ans, mais il est déjà fini... Et en face de lui sa compagne se rapetisse sur sa chaise, espérant que le bouchon ne va pas sauter. Elle sent bien que chaque intervention des serveuses, loin d'apaiser la colère du mâle, l'attise, la couve.
Ils ont fini par recevoir leurs plats, ils ont mangé rapidement en silence, tout comme ils avaient attendu en silence durant 45 minutes. Les couples qui n'ont rien à se dire ne devraient pas courir le risque de s'exposer dans un restaurant où la cuisine ne parvient pas à suivre.
Par extension se pose la question des solitaires prisonniers de ces établissements qui se languissent et ne parviennent pas à vous servir votre schnitzel en temps voulu. Que faisaient ils les solitaires quand les portables n'existaient pas ? Sans doute faisaient-ils comme les couples qui n'ont rien à se dire, ils regardaient les mouches voler.
A la recherche d'une éclaircie, à la recherche des sommets, à la recherche du grand air... Finalement ne rien voir, ne rien apprécier, se sentir froid, mouillé, et rentrer dans la panda des neiges à 60 sur l'autoroute. brrrr
La route miroir surgit devant vous après une averse de neige. La journée fut maussade et froide mais le soleil parvient enfin à percer, évidemment à cet instant précis, cela ressemble à de la magie bien que ce soit totalement atmosphérique et banalement justifiable. Cette étape touche à sa fin, la besace est pleine, la mission remplie. Penser à acheter du lard de la forêt noire au marché ce matin. Bonnes Pâques.
Premier jour du printemps, avaler les kilomètres en longeant le Rhin du nord au sud, du sud au nord, le traverser tantôt par viaduc, par bac ou en franchissant un barrage qui finit en Heim. Jouer à cache cache avec le fleuve. Prendre la neige, le vent et les rafales de pluies sur le pare brise en écoutant france inter qui consacre une journée à mai 68. Arrêter la voiture pour prendre un repère kilométrique, se retourner et tomber sur cette vierge dorée sur sa colonne au milieu des nuages noirs, et trouver que cette lumière lui va à ravir. Faire une photo juste parce que c'est juste.
Réaliser 250 photos par jour et ne pas avoir l'impression d'avoir une seule fois eu l'intention de réellement poser son regard sur ce qui se présente devant l'objectif. Une multitude d'images réalisées par nécessité, réalisées sous l'emprise du désir d'un autre. Définition encore erronée, puisque par définition si nous avions cette connaissance du désir de l'autre nous serions alors capable de porter un regard. Non, il s'agit de rencontrer le désir de l'autre à travers un avalanche de gestes inutiles. Provoquer un désir, rencontrer un désir, par un jeu de miroirs numériques censés représenter l'espace, le temps, celui d'ici et de maintenant ou celui de la fiction, demain.
C'est un geste bien difficile. Cela mériterait d'avoir le temps de regarder vraiment.
Imaginez la pharmacie d'un quartier un peu chic, on se croirait dans un film de Jacques Demy, ça sent la Danièle Darrieux à plein nez, ça sent la musique de Michel Legrand, ça sent le décor en boiseries soignées sur fond de tapisseries mauvasses. Et si comme moi en entrant, vous surprenez la pharmacienne avisée en train de conseiller une cliente sur les dernières teintures biologiques pour cheveux, tout cela vous semble trop beau pour être vrai. De plus la cliente porte des bottes brodées, qui collent tout à fait avec la musique qui n'est diffusée que dans votre tête sournoise.
Très vite votre entrée rompt le charme de l'instant, votre arrivée interrompt une conversation qui semblait jusqu'ici assez vive.
La dame aux bottes brodées semble avoir honte de parler en présence d'un étranger de ses racines toutes délavées.
Michel Legrand file en mode mineur. La musique s'échappe en même temps que la cliente. Adieu Jacques Demy.
Tiens, ils vont rentrer, c'est chouette de les retrouver. L'avion est arrivé, je les imagine qui sillonnent les labyrinthes, fatigués. En attendant, je remarque celui là qui s'endort sur son livre dans le hall des arrivées. Pourquoi dormir dans le hall des arrivées ? Pour moi, on s'endort en attendant un avion qui ne part pas; rarement quand un avion n'arrive pas. D'autant que ce jour là de toute évidence, les écrans n'annoncent aucun retard, aucun vol annulé. Alors serait-ce un usurpateur d'aéroport ? Un non voyageur ? Il attend et s'endort du côté des arrivées, car il sait très bien qu'on finirait par jeter dehors un passager qui ne part jamais côté départ. Par contre, comment reprocher à quelqu'un d'attendre désespérément un retour.
Un temps j'ai cru que j'allais attendre un retour moi aussi.
il faudrait changer la batterie de la voiture, faire une machine si les voisins n'avaient pas une nouvelle fuite, ranger les papiers, appeler maman, elin, rover, mickaël, xavier, aller nager, boire le café avec les de Buck.
Tout va bien, il ne pleut pas, ne pleure pas, l'autre miaule, mais s'il avait le don de parler il tiendrait des discours.
Je commence à lire des blogs. C'est fou ce que ça peut surprendre en bien ou révéler la sottise profonde d'autrui... Par contre quand c'est bien, c'est un voyage agréable.
8 heures à Soleure, ça veut dire voir le soleil briller dans les yeux de l'élite du cinéma helvete... voir le soleil se lever sur le lac de Neuchatel, dans le train du matin, ce qui ne manque pas de charme... voir le soleil se coucher sur le lac Leman, ce qui ne manque pas de charme...
Pour commencer l'année en beauté me suis offert au coeur de la nuit, un nuage rose de barbapapa. Comme c'est la première fois que je me plie à ce rituel, je ne sais s'il me garantira une année vaporeuse et sucrée.
Ca fait bientôt un an que les fantaisies passagères sont souvent grinçantes ou grimaçantes. et parfois on atteint le paroxysme. Heureusement, il y a toujours une grosse dame dans un bar sur l'épaule de laquelle on finit par pleurer parce que c'est trop de fantaisies, trop d'alcool et trop de pas ici, pas maintenant. Donc hier soir, c'était ma nuit grosse dame dans un bar, fort et tard. Que comprennent les grosses dames quand on pleure dans leur giron ? Elles rentrent chez elles, l'épaule humide, le cotillon imbibé des larmes d'un imbécile, bien trop alcoolisé et se souviennent à leur tour des ruptures qui les ont fait pleurer. Que comprennent les barmen qui voient pleurer les garçons dans le giron des dames, le giron des grosses dames échouées au comptoir de leur bar, comme des baleines malades qu'on ne pourrait ni sauver, ni aimer ? Que comprennent les garçons qui regardent le barman dérangé par les larmes qui mouillent la peau grasse d'une cliente éponge accoudée au comptoir ? Qui m'a fait boire la tasse pour que les gouttes débordent et qu'elles mouillent en cascade la peau grasse et le col d'une inconnue tenace qui s'accroche aux piles du bar et survit aux inondations mieux que le pont d'Avignon? Il paraît que c'est utile les notions de trop plein. Il paraît qu'en se laissant couler à la verticale, on finit par toucher le fond. Donnez moi alors un bon coup de talon. Je remonterai à la surface si les courants sont bons. Je n'arrive plus à coller deux images ensemble, je n'arrive plus à trouver ça bon, je n'arrive même pas à tirer la leçon de ce moment blafard et sans concentration. Il paraît qu'en se laissant couler en larme les chances de noyade sont moins abominables. Bref, l'histrion a perdu tout contact avec le monde, et le rôle qu'il massacre lui vaudra un jour un coup de poing dans la gueule.
lâchez vos commentaires et lâchez vos phrases assassines et n'oubliez pas que sur la piste ovale le lanceur de couteaux ne touche pas sa victime, sinon c'est la fin du numéro.
Les jours commencent à fondre, pour bien lire le signe, il ne faut pas oublier d'analyser le rôle du canard. L'autre jour j'ai rêvé que j'étais surveillé.